1️⃣ Déléguer pour se débarrasser : il peut être tentant de déléguer un maximum pour alléger sa charge de travail, ou simplement parce que l’on n’aime pas faire telle ou telle tâche. Mais se poser la question de « qu’est-ce que je peux déléguer, à qui et quel intérêt pour lui ? » permet d’en faire un levier de motivation et de développement.
2️⃣ Micro-manager pour se rassurer : contre productif au possible en termes de motivation et de responsabilisation.
3️⃣ Déléguer et attendre que ce soit fait exactement comme on l’aurait fait : mieux vaut le faire soi-même alors. Ce qui doit être clair, c’est l’objectif ! En revanche laisser de l’autonomie sur le comment.
4️⃣ Déléguer et laisser faire : important d’organiser le suivi pour soutenir, répondre aux interrogations, lever les doutes, voire trancher si besoin.
5️⃣ Déléguer et tout refaire à la dernière minute : le message implicite est « on n’est jamais mieux servi que par soi-même ». Inutile de dire que la prochaine fois, c’est ce que risque de vous dire votre collaborateur si vous souhaitez à nouveau lui déléguer une mission 😅
6️⃣ Déléguer et ne pas débriefer : pour faire grandir les collaborateurs et témoigner de la reconnaissance, rien de tel que de sacraliser les feedbacks de fin de projet.