Exigence et Bienveillance : le duo gagnant du management

Souvent perçue comme tarte à la crème, ou comme paradoxale, cette maxime est pourtant essentielle pour guider les comportements managériaux.

L’exigence, c’est la capacité à viser haut, à challenger ses équipes, à poser des objectifs clairs et ambitieux. Elle donne du cadre, de la direction, et pousse chacun à se dépasser.

La bienveillance, c’est l’intention positive envers les autres (« benevolentia » : vouloir le bien). C’est comprendre les besoins, valoriser les efforts, et accompagner dans les moments difficiles. Elle permet de créer un climat de confiance et de sérénité.

Exigence sans bienveillance : risque d’épuiser les équipes, de brider la motivation, voire de créer un climat délétère.
Bienveillance sans exigence : risque de tomber dans une forme de complaisance, de laxisme, où la performance s’essouffle.

La clé ?
Exigence sur le fond, sur les résultats.
Bienveillance sur la forme, dans la relation et dans sa communication.

Auteur de l’article : Aline Motechic